Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Développement personnel - bien-être - Evolution - Réalisation de soi - Neurofeedback - www.sophiecoach2vies.fr - www.neurodetente.fr

04 Nov

Notre corps nous parle

Publié par Sophie Coach 2 vies - Neurofeedback  - Catégories :  #maux et troubles

Les différents maux et troubles

Le mal-être ne peut éternellement rester silencieux. La souffrance, aussi injuste soit-elle, a un sens. On ne peut l’ignorer longtemps.

La maladie, c’est le mal-à-dire ! Tout symptôme, tout trouble a sa raison d’être et c’est à chacun de chercher cette cause.

Lorsqu’on ne parvient pas à DIRE par des mots, le corps s’en charge et va l’exprimer par des maux.

Selon la constitution, le tempérament et la sensibilité de chacun, ces maux vont toucher tel ou tel organe.

Le corps a son langage et sa symbolique : par exemple,

- le dos représente le soutien et le support de la vie,

- les épaules représentent notre capacité à porter et supporter des charges,

- le cou, notre flexibilité,

- la gorge, l’expression de notre langage verbal et non verbal, notre créativité,

- les bras, notre capacité à prendre les personnes ou les situations de la vie, l’aspect relationnel,

- les dents, nos décisions (est-ce que je peux mordre la vie ?),

- le sang, la joie qui circule dans notre vie,

- les poumons, notre besoin d’espace, d’autonomie,

- l’estomac, notre capacité à accepter et digérer de nouvelles idées,

- le foie, le siège de la critique,

- les os, la structure des lois et principes du monde,

- les intestins, notre capacité à relâcher, laisser aller ce qui nous est inutile ou à laisser circuler les évènements dans notre vie,

- les reins, le siège de la peur,

- les jambes, notre capacité à avancer, aller vers le changement, les nouvelles expériences,

- les pieds, notre direction, notre compréhension de nous-même et de la vie (passé, présent, futur).

Les maladies de la peau

Une peau boutonneuse pourra exprimer le désir de ne pas être touché ; si la peau est grasse de surcroît, le besoin de plus d’espace parce qu’on se sent envahi.

La peau sèche traduit souvent le sentiment de solitude et de manque d’amour (reçoit peu).

La transpiration elle aussi est éloquente : la personne qui transpire beaucoup (sans pour cela sentir mauvais) est nerveuse et insécurisée (fréquent chez les agoraphobes) ; si elle dégage une mauvaise odeur (même après une douche), cela peut traduire soit de la colère, soit de la haine ou de la rancune.

Celui qui ne se lave plus et porte des vêtements sales présente une forme d’autodestruction (état dépressif ou sentiment d’abandon).

De même, se blesser à la peau, se brûler peuvent être des formes d’autopunition ou d’autodestruction liées à un sentiment de culpabilité.

Des démangeaisons peuvent exprimer une certaine anxiété ou de l’impatience (à nuancer selon l’endroit qui démange).

Une allergie au soleil peut exprimer une forme d’auto-culpabilité également (se trouver en vacances au lieu de travailler ou alors que mes proches ne le sont pas).

Les mains et les pieds froids indiquent un sentiment de solitude ou de séparation.

Les furoncles et abcès (pleins de pus) résultent très souvent de la colère (selon l’endroit du corps).

L’impétigo (infection superficielle de la peau) serait un mélange de peine et de colère.

L’eczéma est une affection reliée à des émotions relatives à la perte de contact avec l’être cher (départ, séparation, deuil). Lorsqu’il apparaît très tôt chez le bébé, ce peut être après un sevrage trop rapide ou bien à cause de la maman qui s’absente pour reprendre son travail. Lorsqu’il apparaît plus tard, cela peut traduire de l’anxiété en rapport avec le milieu familial (tensions, conflits….ou menaces de séparation des parents).

L’eczéma peut affecter certaines parties du corps ou tout le corps : il s’agit alors d’un sentiment de rejet, d’abandon par la personne qui représentait la source d’affection (la mère souvent ou la famille).

Le psoriasis (qui se caractérise par des taches rouges recouvertes de squames abondantes blanchâtres et friables) atteint des personnes hypersensibles avides de l’amour des autres. Il apparaît lorsqu’il y a réactivation d’un conflit de séparation.

L’urticaire (éruption de papules rosées ou blanchâtres accompagnée de démangeaisons, voire de sensations de brûlures) témoigne d’une séparation associée à une situation exaspérante.

Le zona (affection d’origine virale) est relié à un conflit de perte ou de séparation au sujet duquel on se fait des reproches.

Les verrues veulent exprimer une répulsion vis-à-vis d’une partie de soi. Si elles recouvrent tout le corps, elles peuvent traduire un rejet de son milieu ou d’une personne proche.

L’acné, si redouté des adolescents, est un signe de dévalorisation par rapport aux autres : on se trouve trop laid, trop gros, trop maigre, trop bête…et l’on ne veut pas être approché.

Se faire « des bleus » (ou ecchymoses) en se cognant dans des objets, ou bien se couper, se brûler, c’est se punir, se sentir coupable de tout et de rien. Plus on se fait mal, plus la culpabilité est grande.

Les maladies touchant le dos ou les épaules

Elles indiquent que le fardeau est trop lourd à porter, que l’on se sent écrasé par le poids de responsabilités, que l’on manque de support ou que l’on ne se sent pas assez supporté (sur le plan affectif ou matériel…)

Se tenir les épaules voûtées ou être bossu, c’est dire que l’on baisse pavillon devant les difficultés de la vie, que l’on n’en peut plus de porter tout seul ce poids.

Les maladies touchant les os et les articulations

Le squelette et les os constituent la charpente solide du corps, les piliers, ce qu’il y a de plus dur et rigide en nous.

Chaque fois que nous souffrons des os, cela signifie que nous souffrons dans nos structures intérieures, dans nos croyances de vie.

Cette souffrance peut se traduire par une fracture, un lumbago….

Les maladies affectant les os vont exprimer une rébellion face à une autorité à laquelle on résiste ou bien un sentiment de dévalorisation (ce qui explique l’ostéoporose, fréquente à la ménopause, l’âge où la femme ne peut plus avoir d’enfants et se sent inutile, improductive…) .

Les rhumatismes, qui sont des états douloureux touchant les articulations (d’ordre inflammatoire comme l’arthrite ou infectieux comme la polyarthrite) vont traduire des difficultés à bouger, à mouvoir ou à mettre en mouvement.

Cette difficulté à bouger peut aussi se manifester sous la forme d’une déchirure musculaire ou d’un claquage…

De façon générale, les inflammations articulaires traduisent une difficulté à bouger, à changer, à lâcher à cause de colères intérieures non exprimées ou non admises.

L’arthrose (atteinte articulaire qui se caractérise par une dégradation et une usure des cartilages) informe notre corps sur ce qui ne va pas. Empêchant la mobilité, elle nous parle de notre difficulté à changer, notre peur du mouvement qui nous fige, nous rend raide. Nous restons trop ancrés sur nos certitudes et croyances profondes (os), ce qui empêche la vie de circuler.

Un lumbago (qui affecte le bas du dos, les vertèbres lombaires) exprime nos difficultés à nous remettre en cause (famille, profession, déménagement, séparation) .

La sciatique a une signification voisine mais s’y ajoute une difficulté à évacuer lors de ces changements certains de nos anciens schémas.

La scoliose (ou déformation de la colonne vertébrale) empêche la croissance équilibrée de l’enfant entre deux axes bien définis (l’axe Yin de la mère et de la relation et l’axe Yang du père et de l’action). Insatisfait par les deux repères spatiaux inconscients, l’enfant va choisir de bouger selon ses propres repères et choisir inconsciemment de rester dans celui qui lui convient le mieux !

Les atteintes du système nerveux

Le système nerveux qui comprend :

- le système nerveux central (l’encéphale avec ses hémisphères et la moelle épinière) qui gère la pensée, les mouvements conscients et toutes les sensations,

- le système périphérique (avec ses 12 paires de nerfs crâniens, moteurs et sensitifs et ses 31 paires de nerfs rachidiens),

- le système autonome ou végétatif qui contrôle l’homéostasie grâce à ses deux systèmes : le sympathique (qui réagit en période de stress) et le parasympathique (qui régit les viscères, les glandes et les vaisseaux),

a pour rôle de traiter les informations relatives aux contacts de l’être humain avec son environnement extérieur .

La tête et son contenu constituent le centre de contrôle de toutes nos émotions. C’est elle qui, grâce au centre de vision qu’elle abrite, donne la direction que nos pas doivent suivre ou emprunter. De façon plus générale, la tête nous dicte la direction de vie à prendre.

Si cette structure est bien opérationnelle, l’individu aura une bonne capacité de réflexion ; sinon, il pourra connaître les affres de la folie.

Le moindre petit grain de sable qui vient à semer le trouble dans cette prodigieuse machine, tout s’écroule ! Perdre la tête, c’est aussi perdre pied dans sa vie.

Le système nerveux joue le rôle d’un « arbre de vie », à la manière de l’arbre généalogique qui symbolise la représentation graphique de notre clan familial.

L’ « arbre nerveux » en effet est constitué de nerfs qui comprennent chacun des branches et des racines, reliées entre elles de façon très étroite.

Les atteintes du système nerveux central

« Trop penser », être trop rationnel par exemple, va engendrer des problèmes cérébraux : migraine, vertiges, troubles de la concentration et de la mémoire, puis des problèmes circulatoires au cerveau, voire des tumeurs ou un véritable « disjonctage » (« Burn-out » des américains ou « karochi » des japonais).

Les atteintes du système nerveux autonome

Les déséquilibres du système neurovégétatif traduisent notre difficulté à relier en nous le conscient et le non-conscient : ces manifestations vont de la spasmophilie (tremblements, tics, nausées, migraines, crampes, chair de poule…) aux véritables crises de tétanie : le sujet se trouve incapable de maîtriser et de répondre correctement aux sollicitations du monde extérieur.

La maladie d’Alzheimer signifierait que la personne atteinte ne peut plus gérer l’extérieur et se coupe donc du monde (devenu trop difficile).

Les troubles de la concentration, toujours associés aux troubles de la mémoire, plus ou moins importants nous signalent un début de saturation de notre conscient.

L’épilepsie (non provoquée par une tumeur) est une forme grave de « débrayage » du conscient et de prise en main de la situation par le système nerveux autonome. Il y a déconnexion du système nerveux central.

L’hémiplégie (paralysie partielle ou totale d’une partie du corps) signe là aussi une saturation, une grande fatigue, une usure.

Les vertiges et le mal des transports indiquent que nous avons du mal à gérer les repères spatiaux, que nous manquons de sécurité, que nous avons peur de ne pas maîtriser ce qui peut se passer.

La maladie de Parkinson (plus fréquente chez les hommes) atteint des personnes qui toute leur vie ont subi sans se révolter, ont fait ce qu’on leur a dit de faire, comment et quand !

Dans le cas de la sclérose en plaques (qui touche davantage les femmes), il y a inhibition du potentiel d’action et de ressenti : la personne subit et ne peut plus agir. Elle se coupe du monde pour se protéger (inconsciemment).

Les atteintes du système génito-urinaire

Le système urinaire composé des reins et de la vessie a pour objet de filtrer, stocker et évacuer les « eaux usées » de l’organisme, c’est-à-dire les liquides organiques et les toxines. C’est l’activité la plus occulte mais aussi la plus puissante de notre corps constitué essentiellement d’eau (mémoire profonde de l’individu).

Les maux du système urinaire traduisent nos peurs et nos résistances face aux éventuels changements de notre vie ainsi que notre peur de la mort, ou de la vie, de la maladie grave ou de la violence (nos peurs profondes).

Lorsque les tensions se manifestent sur la vessie, elles sont en rapport avec l’extérieur et la position de la personne vis-à-vis de cet extérieur. Lorsqu’elles se manifestent sur les reins, il s’agit d’une difficulté plus intérieure et personnelle.

La cystite (ou inflammation de la vessie) par exemple (si fréquente chez les femmes) traduit nos peurs par rapport aux ancêtres que nous n’arrivons pas à dépasser (et la colère ou à la révolte engendrée).

Chez le garçon cela se traduira plutôt par une énurésie (pipi au lit) !

L’incontinence exprime une difficulté à « retenir » (après avoir peut-être trop longtemps retenu) : les choses nous échappent, ce qui gêne considérablement la vie quotidienne.

Les troubles de la prostate ont un rapport avec le pouvoir et la maîtrise du monde : l’homme concerné a peur de ne pas être ou de ne plus être à la hauteur. Il se sent de moins en moins capable de « faire ».

Les coliques néphrétiques (dues à des calculs rénaux) peuvent être très douloureuses : elles signent une fixation des croyances, des peurs ou des certitudes. L’individu peut avoir tendance à s’arc-bouter sur des habitudes de vie ou de penser, d’où une rigidification.

La néphrite (inflammation du rein) indique la présence d’émotions négatives, de colères rentrées, étouffées et non réglées.

Le système génital permet la reproduction et la sexualité

Les maux affectant ce système parlent de notre difficulté à vivre ou à accepter les deux tendances qui doivent cohabiter à l’intérieur de nous, notre partie Yang, pénétrante et notre partie Yin, réceptrice (l’Animus et l’Anima, présents chez chacun d’entre nous), c’est-à-dire notre côté ferme, fort, actif, défensif…et notre côté doux, tendre, passif, artistique…

L’utérus représentant le couple, le foyer, le nid, les maux qui l’affectent vont traduire des conflits par rapport au conjoint ou par rapport à la place de chacun dans le foyer.

L’aménorrhée (ou absence de règles en dehors de la grossesse ou après la ménopause) peut exprimer un doute par rapport à la capacité de (pro)créer, ou bien le désir caché d’une liberté totale (face aux contraintes que les cycles imposent).

Les règles douloureuses sont souvent le fait de femmes exigeantes qui se veulent libres ou indépendantes. Elles acceptent mal cette même rigueur relative aux règles injustifiées et sans valeur !

L’endométriose (développement anormal de la muqueuse utérine dans d’autres parties du corps) symbolise une relation émotionnelle difficile à la mère.

La frigidité (chez la femme) comme l’impuissance ou les troubles de l’érection (chez l’homme), « empêchant » mécaniquement la sexualité, traduisent notre difficulté à vivre les plaisirs de la vie et en particulier de l’activité (professionnelle, sociale ou familiale).

Les maladies qui concernent le système génital, d’origine virale telles que l’herpès, bactérienne telles que la blennorragie ou la syphilis, ou bien dues à un champignon comme les mycoses indiquent également une difficulté à vivre la sexualité ou ce qu’elle représente, une insatisfaction dans notre relation à l’autre, à la vie ou au plaisir. Ces maladies contagieuses et non « mécaniques », contractées ailleurs renforcent l’idée de culpabilité et d’interdit (surtout les maladies « sexuellement transmissibles », la blennorragie et la syphilis).

La stérilité nous parle de notre difficulté à (pro)créer et peut-être de notre peur à ne pas pouvoir assurer notre descendance, c’est-à-dire laisser une trace.

Les atteintes du système digestif

L’appareil digestif (qui comporte le plus grand nombre d’organes) est celui qui nous permet de digérer les aliments solides et liquides que nous consommons.

Les troubles qui l’affectent vont traduire notre difficulté à avaler, digérer, assimiler non seulement cette nourriture, mais aussi ce qui se passe dans notre vie : des paroles, des actes qui peuvent « rester sur l’estomac » !

C’est ainsi que l’aérophagie (ou le fait d’avaler involontairement de l’air, ce qui provoque un gonflement de l’estomac) révèle des tensions, un état de stress en rapport avec le monde matériel, professionnel ou financier. L’individu ayant du mal à « tout gérer », ne fait plus le tri entre l’aliment solide qui doit aller vers l’estomac et l’aliment non matériel qui doit aller vers les poumons. Il accorde trop d’importance à ses problèmes et ressent un malaise, une sensation de trop-plein.

Les maux d’estomac en général (ou gastralgies) traduisent nos contrariétés scolaires, professionnelles, financières ou judiciaires qui provoquent des soucis réels ou imaginaires, que nous « ruminons », « ressassons » de façon excessive. L’acidité gastrique peut alors nous dire d’arrêter cette rumination.

Les vomissements ou régurgitations sont le signe manifeste de notre refus pur et simple (de ce qui ne nous convient pas). C’est désagréable et brutal mais rapide et efficace, du moins dans l’instant.

Les nausées expriment un malaise général, diffus par rapport à un environnement personnel ou matériel trop lourd à gérer. Le sujet, plutôt perfectionniste, veut trop bien faire ou faire trop de choses en même temps, d’où une saturation intérieure.

L’ulcère à l’estomac (ou exacerbation des signes précédents) évoque la profondeur de la tension ou du déséquilibre comportemental. Il est fréquent chez les hommes d’affaires.

La gastro-entérite (inflammation d’origine infectieuse qui touche à la fois l’estomac et l’intestin grêle). Elle exprime, elle aussi, les difficultés à gérer l’environnement matériel et surtout scolaire (ou professionnel), ce qui génère frustrations et colères. C’est en quelque sorte un refus d’assimiler, qui se traduit par une évacuation difficile à contrôler et parfois violente et douloureuse. Les maux de la vésicule biliaire, en liaison avec le foie dont elle recueille et concentre la bile, jouant ainsi un rôle dans la digestion des aliments, tant physique que psychologique, traduisent nos difficultés à clarifier nos sentiments.

Des calculs peuvent troubler la bile lorsque nous avons besoin de clarifier des choses en nous.

Les troubles du gros intestin (ballonnements, colique, colite, constipation, flatulence, gaz) sont en relation avec notre peur de manquer, de nous tromper, notre retenue excessive (timidité) ou refus d’abandonner, de lâcher, avec notre difficulté à « cicatriser », à oublier les mauvaises expériences.

La constipation peut être sévère chez une personne qui a peur de prendre des risques, peur de lâcher et de perdre.

Les hémorroïdes (dilatation des veines de la muqueuse anale ou rectale) accompagnent souvent la constipation : elles peuvent être le signe d’insécurité (matérielle), du sentiment de devoir faire quelque chose par obligation, d’une tendance à retenir les choses par peur de manquer.

Lorsque ces contractions physiologiques, notamment des sphincters, durent dans le temps, elles peuvent occasionner petit à petit des difficultés de circulation des énergies et produire des stagnations (arthroses, varices ou hémorroïdes).

La constipation indique le fait de ne pas vouloir ou pouvoir lâcher-prise, souvent par rancoeur, ou par peur de perdre.

La diarrhée au contraire traduit un défaut d’assimilation du sujet ; par saturation, par peur d’échouer ou par culpabilité, la personne a du mal à accepter ce qui vient de l’extérieur. Les vécus, les situations rencontrées sont perturbantes et les émotions se mélangent à la réalité de façon confuse, d’où un état inflammatoire, signe de colères rentrées.

Notre corps nous parle

À propos

Développement personnel - bien-être - Evolution - Réalisation de soi - Neurofeedback - www.sophiecoach2vies.fr - www.neurodetente.fr